Un contact avec le vide
Dans son premier parcours de vie, le Dr Christian Roche a eu l'opportunité de partager des recherches avec quelques confrères, tous en quêtes d'une vision plus humaine et plus globale de la santé.
En 1993 il fait une découverte qu'il baptisera l'EFFET CONTACT.
Le principe directeur de cette vision nouvelle au travers de cette découverte est décrite dans une phrase, prononcée par Linus Pauling, prix Nobel de chimie en 1954 :
" la vie, ce ne sont pas les molécules, mais le lien entre elles".
L'effet contact fut la découverte révolutionnaire d'un phénomène fondateur dans le développement d'une méthode de santé globale et d'une gamme de micro et phyto-nutrition. Cette découverte vient renforcer l'idée de lien dont parle Linus Pauling. En effet, lorsque l'on approche deux gouttes d'eau dans le but de les mettre en contact, il se manifeste de façon spontanée, à l'interface (ou inter-espace) entre les gouttes une forme d'énergie, de flux, de vibration, tout un ensemble de micro-informations, qui peuvent être détectées grâce à la pulsologie subtile, mesure réalisée grâce aux variations des ondes du pouls et de l'information du cœur.
Ainsi, lorsque deux gouttes d'eau s'associent, se réunifient, il en résulte une nouvelle qualité d'eau, une substance hydrique plus complexe, plus élaborée, plus intelligente, plus consciente. Or, cette substance est très proche des informations contenues au cœur de ce que le Dr Roche nomme le "point zéro", ou ce que la physique moderne appelle le vacuum quantique. L'effet contact laisse apparaître une interrelation dynamique entre deux molécules ou gouttes d'eau, un inter-lien, un inter-espace. Et cet inter-espace se développe selon une architecture qui tend à être la forme de base de toute la construction de l'Univers : une forme torique (extrait du nouveau livre du Dr Christian Roche en cours d'édition, chapitre l'hématie, chevalier de la lumière).
Cette découverte met en évidence qu'à l'intérieur de la matière elle-même, dans sa forme originelle, et dans ce cas précis, au sein des gouttes et des molécules d'eau, il existe quelque chose qui pousse les particules à s'agréger entre elles pour atteindre un niveau plus élevé de complexité. C'est comme s'il existait une force initiale, une volonté de faire du lien, une forme d'intelligence première, dans le sens littéral du terme, au cœur de la matière. Peut-être l'avez-vous compris, nous touchons ici l'essence première de la conscience pure...
Deux molécules qui se lient entre elles, créent un nouvel état plus riche en informations et plus cohérent. L'ensemble est plus que la somme des parties. Comme l'a dit Freeman Dyson, physicien théoricien et mathématicien de renom :
"quelque chose qui ressemble à un choix, semble se produire au niveau microphysique".
Ce choix n'est pas guidé. Il ne se situe pas dans le monde de la causalité (système de cause à effet), ni celui du temps linéaire, ni de l'espace tridimensionnel.
Il est libre...
Il est information libre, véhiculée par l'eau qui constitue 99 % des molécules du vivant !
Un vide chargé de sens
Cet espace, nous l'avons appelé en OEM l'interface vitale. Nous aurions tout aussi bien pu le nommer l'espace entre les espaces, le lien entre les choses, le centre au milieu des éléments, ou encore les informations du vide. Nous pourrions finalement lui donner le nom de "conscience pure".
De nombreuses civilisations avaient déjà imaginé l'existence de cette zone chargée en informations, cette région du lien. C'est le vide du Tao. Plus proche de nous, Jung, psychiatre fondateur de la psychologie analytique, décrit la conscience à l'aide de différents éléments tels que la sensation, la pensée, l'intuition, le sentiment, qui mènent au Moi. Le Moi étant la manifestation, nous pouvons dire qu'il est notre architecture, notre forme, ou encore une pré-forme d'une information que Jung nomme le Soi. nomme le Soi.